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 L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres.

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Edoc'sil-77

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MessageSujet: L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres.   L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres. EmptyDim 16 Sep - 13:27

Résumé. Eriendre, un jeune adolescant, va se découvrir une force insoupconné. Il découvre un phénix dans une foret. C'est la que tout commence. Loin de se douter de ce qu'il attend, il va a Horias, le ville royale pour faire par au roi de son phénix. Mais tous ne se passera pas sans mal. Il découvrira qu'il n'est pas le seul a avoir de telles pouvoirs.


Chapitre 1 :
Le Symbole.



Comment différencier le bien et le mal ? Tous les deux sont similaires. Est-il possible de trouver un juste milieu ? Pourquoi se battre ? Pourquoi ne pas faire la paix ?
Laissez moi vous conter cette histoire. Elle commence avec un jeune adolescent de 16 qui se retrouve face à son destin. Il se nomme Eriendre. De père inconnu, il vécu avec sa mère dans la ville de Yarielle. Hélénia, sa mère, tenait une boucherie.
Toute cette histoire se déroule dans le monde de Séérian. Dans un monde magique.
Eriendre, 1 m 65, les yeux bleu marin, les cheveux châtain foncés était fils unique. Aidant sa mère, il était loin de se douter qu’il était promis à un destin exceptionnel.
- Eriendre ! Eriendre !!
Une femme de 45 appelait son fils. Elle était devant une boucherie. L’établissement était en bois. En réalité, toutes les maisons aux alentours étaient en bois. Certaines en pierre. La boucherie était en chêne. Le bois étincelait. Il y avait une vitre qui offrait une exposition pour le moins appétissante. On y voyait des beaux morceaux de viandes. Une porte se trouvait à coté de la vitrine. Elle n’attendait que les clients.
- Eriendre ! Mais ou est-il ?
Devant la boucherie se trouvait une allée faite de pavée. Beaucoup de gens y passaient. Certains s’arrêtaient pour observer la viande. D’autres couraient, pressés par le temps. Un jeune homme aux cheveux châtain foncés, habillé d’un manteau a manches courtes en cuire bleus très foncé, de bottes noires et d’un pantalon de tissu noir. Il était jeune et beau. Ses yeux étaient bleus marin. Il s’arrêta devant la femme qui criait le nom de Eriendre.
- Je suis la maman. Dit-il essoufflé.
- Il était temps. J’ai besoin que tu tiennes la boutique pour l'après midi. J’ai des achats à effectuer.
- Ok.
Eriendre entra dans la boutique et sa mère s’éloigna dans la rue. L’intérieur était propre et esthétique. Tous ce qui s’y trouvait était rangé à une place bien définie. Des jambons et des saucissons étaient suspendus par des crochets dans l’arrière boutique. Des bouts de viande étaient exposés dans plusieurs vitrines. Et devant l’entrée de l’arrière boutique, il y avait un comptoir. Sur celui-ci, une vielle balance en cuivre étaient posé. Il y avait plusieurs tiroirs qui devaient cachée l’argent. Eriendre s’assit derrière le comptoir, prit son canif et son bout de bois et se mit à le tailler. Cela faisait trois jours qu’il taillait le bout de bois pour en faire une flèche puissante. Mais tous ses efforts étaient vains. Cependant, sa volonté et sa patience le faisaient continuer. Une femme entra dans la boutique. Elle portait un bout de tissu qu’elle avait transformé en robe. Ou tout du moins elle avait essayé. Elle avait un sac en tissu blanc.
Eriendre posa son couteau et son bout de bois et fit un sourire à la cliente.
- Tu n’es pas un peu jeune pour tenir un commerce d’une telle importance ?
- Ho non ! C’est ma mère mais elle a dut s’absenter pour la journée. Donc je la remplace.
- Très bien. Pourrais-je avoir une dizaine de tranches de jambon ?
- Tout de suite.
Eriendre partit vers l’arrière boutique. Il décrocha un jambon, prit un hachoir et découpa dix tranches. Il revint avec les tranches et il les posa sur la balance en cuivre qui lui indique le poids. Mais la cliente déposa une bourse en cuire sur le comptoir avant même qu’il n’ai indiqué le prix. Eriendre ouvrit la bourse et jeta un coup d’œil.
- Merci.
Il lui donna les morceaux de viande et elle les rangea dans le sac qu’elle portait.
- Merci a vous.
Elle tourna les talons et elle sortit de la boucherie. Eriendre regarda par la porte et il remarqua qu’un homme vêtu d’une cape noir avec le visage couvert d’une capuche l’observait. L’étranger sentit le regard de Eriendre et il partit.
Eriendre se remit à tailler son bout de bois. L’après midi fut assez calme. Il n’y eut que trois clients. Hélénia revint vers 17 heures.
- Tout c’est bien passé ?
- Ouais ! A part un homme en début d’après midi qui m’a parut étrange.
- Tu peux aller dehors. Mais ne rentre pas trop tard.
Eriendre sortit dehors. Il n’y avait plus grand monde dans la rue. Seulement deux ou trois personnes. Eriendre remonta l’allée et il se retrouva sur la place centrale. Il prit une petite ruelle qui pouvait laisser passer deux personnes maximum. Il continua à marcher et il se retrouva face a un petit bois. Il suivit un chemin dégagé dans le bois. Il arriva devant un arbre qui était plus gros que les autres. Deux personnes étaient assises sur une grosse racine qui sortait de la terre. L’une était une fille brune aux yeux vert émeraude, l’autre était un garçon mince et grand. Il avait les cheveux aubrun et les yeux noisette.
- Eriendre ! Il était temps que tu arrives ! S’exclama le garçon.
- Oui je sais Ryfryus.
Le regard d’Eriendre se posa tout de suite sur la fille.
- Salut Eriendre. Dit elle d’une voix douce.
- Salut Seria.
Elle se leva et approcha de lui. Eriendre l’embrassa.
- Oui vive les amoureux ! Vous pourriez éviter en ma présence ! S’indigna Ryfryus. Bon on fait quoi maintenant que la journée va se terminer ?
Eriendre leva les yeux vers le ciel et il vit que le soleil se couchait.
- Moi je rentre. Dit Ryfryus. On se retrouve ici demain. Et arrive à l’heure Eriendre.
- Ok. Suis moi Seria.
Eriendre et Seria firent le chemin en sens inverse. Ils sortirent du bois. Ils passèrent par deux ou trois rues et ils arrivèrent derrière une maison. Il y avait une échelle qui montait jusqu’au toit.
- Viens.
Eriendre monta sur l’échelle. Seria le suivit. Tous les deux arrivèrent en haut. Et la, un spectacle magnifique s’offrait a eux. A l’horizon se trouvait le soleil qui se couchait et on voyait toute la ville. Certaines maisons étaient plus imposantes mais cela ne gâchait rien.
- C’est magnifique ! Déclara Seria.
Eriendre souriait et regardait le soleil. Ils s’assirent et s’enlacèrent.
Les derniers reflets du soleil disparurent.
- Je dois rentrer Seria.
Elle descendit l’échelle et Eriendre fit de même.
Seria embrassa Eriendre.
- A demain.
- A demain Seria.
Et elle partit. Eriendre prit le chemin de la boucherie. Il remarqua que l’étranger qui l’avait regardé par la porte le suivait. Eriendre fit semblant de ne pas s’en apercevoir. Il était prêt à réagir. Son couteau était dans sa poche droite. Mais il n’eut pas besoin de s’en servir. La nuit était sombre. Seul la lune brillait dans le ciel. Et les rues n’étaient pas éclairées. Il arriva devant la boucherie. La maison d’a coté était en pierre et Eriendre y entra. Il ferma la porte a clé derrière lui. Hélénia, sa mère était dans la cuisine. L’intérieur était en bois. L’entrée débouchait sur un couloir qui menait à la cuisine. Il y avait peu de décoration dans le couloir.
- Eriendre ?
- Oui c’est moi.
- Mais que faisait tu. Il fait nuit dehors.
- J’ai 16 ans maman ! C’est impossible d’etre tranquille ! Objecta Eriendre.
- Viens manger !
Eriendre alla dans la cuisine. Il y avait une cheminée, des murs en pierre, une table en chêne, un placard. Il s’assit à la table. La table portait deux assiettes, des couverts, de la viande et des pommes de terres. Eriendre prit un morceau de viande consistent et le déposa dans son assiette. Il prit aussi des pommes de terres et mangea jusqu'à la dernière miette. Il se leva rapidement et se dirigea vers l’escalier.
- Tu n’as rien dit durant le dîner !
- Je sais. Mais je me sens mal.
En effet ! Eriendre éprouvait une sensation étrange. Il était fatigué, épuisé et en même temps il se sentait plus forts. Tous lui paraissait assourdissant, énervent.
- Je vais me coucher.
Et il monta les escaliers. Il arriva dans un autre couloir qui comportait deux portes. Il prit celle de droite et il arriva dans une chambre. Il y avait un lit, une armoire, des parchemins et tout un bazar. Il s’allongea sur son lit et regarda son plafond. Ses paupières lui paraissaient lourdes. Il voulait dormir et rester éveillé à la fois. C’était comme si sa tête allait exploser. Il ferma les yeux et il se tortilla dans son lit pendant quelques minutes. Ses yeux s’ouvrirent et ils étaient noirs. Il plaqua ses mains sur son front. La douleur le faisait souffrir horriblement. Ses yeux reprirent leur couleur et il s’endormit paisiblement. Mais une chose avait changé. Sur son avant bras droit se trouvait un symbole qui représentait des formes incompréhensibles. Ce symbole venait de sceller son destin et son avenir a tout jamais. Et pour cela, il lui faudra traverser des épreuves dont il n’a aucune idée. Il dormait, habillé et les yeux fermée. Et a présent, il disposait d’une grande force.


Voici le premier chapitre. Bon je sais il ne se passe pas grand chose mais le deuxième chapitre comportera un nouveau personnage.Ou plutot une nouvelle créature.
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MessageSujet: Re: L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres.   L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres. EmptyMar 18 Sep - 19:44

Chapitre 2 :
Le Phénix.



Eriendre se réveilla. Il était en pleine forme. Il se sentait plus fort plus puissant. Tout lui semblait plus simple. Mais une chose avait changé. Eriendre l’avait su des son réveil. Un symbole qui, pour Eriendre ne voulait rien dire, était apparut sur son avant bras droit. Son bras le grattait exactement à l’endroit où se trouvait la marque. Mais il décida de ne pas s’en occuper pour l’instant. Il sortit de sa chambre et il descendit dans la cuisine. Hélénia était déjà la.
- Tu as bien dormi ? Demanda t-elle.
- Oui ! Je me sens en pleine forme.
Il prit garde à ce qu’Hélénia ne remarque pas le symbole pour éviter un interrogatoire ou Eriendre ne pourrait répondre à aucune question. L’adolescent se dirigea vers le couloir.
- Tu ne manges pas ?
- Non. Je n’ai pas faim.
Eriendre sortit de la maison. Il n’y avait pas grand monde dans l’avenue. Il refit le même chemin qu’hier et il arriva devant le bois. Il suivit le chemin dégagé et il se retrouva devant l’arbre. Quelques chose gisait a terre. Eriendre était trop loin et il ne le distinguait pas clairement. Il se demanda si il était sage de s’approcher. La chose qui gisait s’embrassa en de grandes flammes bleues. Eriendre prit peur et recula et se retrouva dos à un arbre. Il ne bougeait plus un muscle. Il n’avait pas vu la créature mais il savait qu’elle était encore en vie. Donc, en toute déduction sensée, elle avait prit feu toute seule. Une combustion rapide et efficace. Il ne restait plus qu’un petit tas de cendre noirs.
Eriendre se décolla de son arbre. C’était insensé mais il aurait jurée que le tas de cendre venait de bouger. Un petit bec doré apparut. Puis une petite tête qui comportait deux yeux noires, profond et mystérieux. Eriendre se pencha pour mieux voir la petite créature. Les cendres avaient disparu. Il n’y avait plus qu’une marque noire et une petite créature aux plumes noires et rouge pourpre. Eriendre n’était pas sur de son espèce tellement la réponse était improbable.
« Eriendre ? »
Eriendre écarta les sourcils. Une voix apaisante et masculine venait de lui parler dans sa tête. Eriendre concentra ses pensées pour lui répondre.
« Oui c’est moi. Mais comment connaissez vous mon nom ? »
« Tu n’es pas encore prêt à le savoir »
- C’est quoi cette histoire ! Objecta Eriendre.
- Si tu préfères parler.
Eriendre recula comme tout a l’heure de frayeur. La petite créature avança avec ses petites pattes.
« Je suis un phénix. Tu n’as pas à avoir peur. Aucun mal ne te sera fait. »
Eriendre ne bougeait plus. Il était difficile de savoir si la peur ou l’étonnement était le plus fort dans son esprit. Il faut dire que, un phénix, ce n’est pas commun.
- Un phénix ? Les créatures légendaires aux pouvoirs extraordinaires ?
- Effectivement nous avons des pouvoirs puissants mais nous ne sommes pas si légendaires. La preuve, tu as un phénix devant toi.
Eriendre, ébahi, ouvrit la bouche.
- Et vous avez un nom ?
- Hoctallia.
- Comment ?
- Hoctallia. Tel est mon nom.
C’était un nom peu commun. Tout du moins pour Eriendre.
- Pourquoi un phénix se retrouve tout seul dans un bois à coté d’une petite ville.
- A cette question aussi tu n’es pas prêt.
- D’où vous me dites si je suis prêt !
La colère montait en Eriendre. Il avait envie de lui arracher la tête.
- J’ai 16 ans ! Je suis presque un homme et e n’est pas un petit monstre noir qui…
- Alors tu nous considères comme des monstres ?
- LA QUESTION N’EST PAS LA !!
Le ton du phénix avait rendu fou Eriendre. C’était comme si il parlait à un mur. Le phénix regardait les alentours.
- Regarde moi phénix !
Les yeux de Eriendre devinrent noirs. Le bras de Eriendre dégagea des flammes bleues. C’était comme si un autre homme l’avait remplacé. Eriendre regarda son bras et se mit à paniquer et à sauter dans tous les sens.
- Haaaaa !! Mon bras !
Il se retourna et son bras cogna contre l’arbre qui trembla grandement. Les flammes disparurent et ses yeux redevinrent normaux.
- Mais qu’est ce que !!
Eriendre était tout pale et regardait son bras comme si il s’agissait d’une chose horrible. Le phénix eut un regarda songeur a l’égard de l’adolescent.
« Cela explique bien des choses. »
Eriendre jeta un regard noir au phénix.
« Ca explique QUOI ? Que je vais me transformer en boule de feu ! »
Eriendre était paniqué, effrayé et terriblement en colère.
- Nous devons partir au plus vite pour aller à Horias !
- Hé ! Vous croyez que je peux me permettre de partir comme ça, comme bon me chante.
- C’est d’une urgence cruciale. Le monde de Séérian est en danger.
- Mais oui bien sur ! Vous n’avez qu’à y aller tous seul.
« Tu es le seul espoir ! Tu dois y aller ! »
- Le seul espoir ! Mais vous racontez…
- Tu as eu la preuve ! Ton bras, les flammes ! Tu as des pouvoirs magiques !
- Non ! C’est vous qui en avez.
Des bruits de pas retentirent sur le chemin. Eriendre regarda et il vit Séria et Ryfryus arriver en marchant tranquillement.
- Ho non. Si je leur raconte ce qui m’arrive ils vont soit me prendre pour un fou. Où peut etre pas ! Nous sommes amis depuis très longtemps, on se fait confiance. Et Séria. Ca s’annonce mauvais !
« Je les comprend si ils te prennent pour un fou. Ca t’arrive souvent de parler tout seul ? »
« C’est pas le moment ! »
Séria et Ryfryus arrivèrent. A la vue du phénix, ils eurent un air étonné. Enfin surtout Séria. Ryfryus lui paraissait plutôt extasié.
- Par la lame de Référion ! S’exclama Ryfryus.
Eriendre le regarda d’un air très étrange.
- Ba quoi ? Tu ne connais pas Référion ?
- Si. Répondit Eriendre.
Ryfryus s’approcha du phénix.
- C’est un phénix ! Ils ont des pouvoirs géniaux. Ils peuvent se transformer intégralement en feu. On dit aussi qu’ils se régénèrent et qu’ils ne peuvent mourir que de vieillesse. Sauf si ils se tuent volontairement.
Ryfryus se retourna vers Eriendre et Séria qui le regardait.
- Je lis beaucoup, c’est tout.
Et il se remit à regarder le phénix.
- Laissez moi me présenter. Je me nomme Hoctallia. Et vous êtes Séria et Ryfryus. Vous vous connaissez depuis que vous êtes petit. Et votre ami a des pouvoirs magiques.
Séria et Ryfryus se tournèrent en direction de Eriendre.
- Une démonstration ! Déclara Ryfryus.
- Mais je ne les contrôle…il vit la tête déçu de Ryfryus…bon je vais essayer.
Eriendre monta son bras au niveau de sa tête et il se concentra.
« Allez ! Je peux y arriver. Brûle ! Brûle ! »
Mais rien ne se passait. Séria et Ryfryus le regardèrent comme si il essayait de les impressionner en ratant son coup.
« Plus lamentable qu’un griffon qui ne sait pas volé. »
- QUOI !
Eriendre se retourna vers Hoctallia avec un regard plus que coléreux. Ses yeux devinrent noir et l’arbre a coté de Eriendre se déracina et tomba a terre dans un grand vrombissement.
Séria fit un bond d’au moins un mètre. Ryfryus, lui, eut un mouvement de recule et il resta bouche bée.
« Non c’est de la provocation. Calme toi. » Se disait Eriendre.
Ses yeux redevinrent normaux.
- Et il est succeptible. Dit Hoctallia.
- Mais d’où sortent ces pouvoirs ? Questionna Ryfryus.
C’est à cet instant précis que Eriendre réalisa. Il regarda son bras droit et observa le symbole. Son regard se posa ensuite sur le phénix. Un regard accusateur.
« C’est vous ! C’est à cause de vous que je suis devenu un monstre. »
- Tu peux me tutoyer. Et je n’y suis pour rien. Et tu n’es pas un monstre. Tu es devenu le plus grand espoir de survie dans ce monde.
A voir le visage de Séria, son point de vue était a coup sur différent de celui d’Hoctallia. Elle était pétrifiée. Ryfryus, lui, était en plein rêve. Un phénix, des pouvoirs magiques. Tout ce qu’il désirait au plus chère. Ryfryus était fasciné par tout ce qui concernait les légendes, les créatures et les pouvoirs.
- Je ne suis que Eriendre !
- Oui, tu es Eriendre, mais aussi un adolescent aux pouvoirs magiques. Dit Ryfryus. Il se mit a coter de Eriendre t il lui tapota l’épaule.
- Ca m’avance bien ! Je ne sais pas m’en servir.
« Tu apprendras Eriendre. »
Eriendre regarda Séria qui n’avait pas bougé depuis l’arbre déraciné.
- Séria ? Tu vas bien ?
- Dur a dire. J’avoue que tes pouvoirs sont un peu effrayants. Répondit-elle.
- Ils sont géniaux oui ! S’indigna Ryfryus.
- Oh ça suffit Ryfryus !
Eriendre se tourna vers le phénix.
- Et je fais quoi maintenant ?
- Je te l’ai dit. Tu dois aller à Horias. Et vous aussi maintenant. Dit Hoctallia a l’adresse de Séria et Ryfryus.



Et voila le deuxième chapitre. Je tiens a dire que les pouvoirs de Eriendre sont beaucoup plus puissants et qu'il peut faire plus que déraciner un arbre ou créer du feu.
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MessageSujet: Re: L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres.   L'éspoir du Phénix: Tome 1: La lumière parmis les ténèbres. EmptyMer 3 Oct - 16:04

Chapitre 3 :
Le mystérieux étranger.



- Quoi ? S’exclamèrent Séria et Ryfryus.
- Mais c’est génial ! Continua Ryfryus.
Séria le regarda incrédule.
- Mais oui. Si nous allons à Horias, nous serons des héros. Nous entrerons dans la légende. Nos noms seront cités dans les livres et les plus grandes histoires de guerre.
- Guerre ! Coupa Eriendre. Je n’ai aucunement l’intention de me battre !
- Pourtant il le faudra bien. Dit Hoctallia. Une guerre s’annonce. Les Kéraniens veulent nous faire la guerre. Nous devrons nous défendre. Et toi tu as des pouvoirs que tu ne soupçonnes même pas.
Eriendre leva les yeux aux ciels.
- Mais pourquoi MOI !
- Je n’en ai aucune idée. En tous cas nous devons partir le plus vite possible pour atteindre Horias sans nous faire repérer.
- Repérer ! Objecta Eriendre.
- Ne t’inquiète pas. Aucun d’entre vous n’est en danger « Enfin je l’espère. »
- Moi en tous cas je viens. Déclara Ryfryus.
- Moi aussi. Dit Séria.
- Quoi !! Eriendre se retourna vers Séria.
- Oui je veux me battre. Je n’ai pas l’intention de laisser des créatures venues des territoires damnés tuer ma famille.
- Ecoute tes amis Eriendre. Je t’en supplie.
Eriendre savait qu’il ne pouvait pas dire non. Mais il n’avait aucunement envie de se battre.
- Bon d’accord. « Maudite perruche !! »
« Les phénix ne sont pas des perruche. »
- Hé ! Qui vous as donné le droit de lire mes pensées.
Mais le phénix fit semblant de rien.
- Nous partirons demain à 3 heures. Annonça Hoctallia.
- En pleine nuit ! Objecta Ryfryus.
- Oui nous ne devons pas etre repérer. On ne sait jamais.
Et Hoctallia s’envola.
- Mais ou va-t-il ? Questionna Séria.
- Il part avertir nos frères d’armes.
La voix que venaient d’entendre les 3 compagnons leur était inconnu. Elle était glaciale et sans vie. Eriendre se retourna vers les arbres. Il les fixa comme si il observait quelque chose. Ses yeux devinrent noirs. Puis ils redevinrent normaux.
- Qui etes vous ? Demanda Eriendre.
Un homme émergea des arbres. Il était vêtu d’une longue cape noire. Mais contrairement aux dernière fois que Eriendre l’avait vu, sa capuche ne lui couvrait pas le visage. Cet homme avait le visage sympathique et des yeux perçants. Une chose était sur, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas prit du temps pour arranger son visage. Il était mal rasé et il avait l’air fatigué. L’étranger devait etre fatigué aussi car des cernes se trouvaient sous ses yeux.
- Je me nomme Eclésion. Je viens des contrées reculées d’Archénia.
- Que faites vous ici ? Interrogea Ryfryus.
- Une histoire bien trop longue. Je dois vous escorter jusqu’a Horias.
- Vous etes au courant pour le…
- Phénix. Oui Eriendre.
Ryfryus se grattait la tête. Il réfléchissait.
- Vous ne seriez pas un guerrier de la Déchéance ?
- Si.
- Un quoi ? Demanda Séria.
Eriendre lui aussi était avide de savoir ce qu’était un guerrier de la déchéance.
- Ce sont des guerriers qui doivent accomplir des missions qui doivent rester secrètes. En générale…
- C’est bon on a compris Ryfryus. Coupa Eriendre.
- Qui nous dis que vous ne racontez pas des histoires ? Questionna Séria.
Elle n’était pas convaincue de la sincérité des propos de l’étranger.
- Vous ne me croyez pas. Très bien.
Eclésion sortit son épée. Ryfryus et Séria eurent un mouvement de recul mais Eriendre ne bougea pas. Il prit la main d’Eriendre et fit une coupure au centre de sa paume. Quelques gouttes de sang s’agrippèrent comme attiré à la lame. Eclésion se coupa lui aussi au centre de la paume. Les deux sangs se mélangèrent. Eclésion s’agenouilla en face d’Eriendre et il planta son épée dans le sol.
- Je fais le serment de te protéger Eriendre, et de donner ma vie si il le faut pour assurer ta survie.
Eclésion ferma les yeux. Eriendre lui, les écarquilla avec l’haire le plus ahuri qu’il ne puisse l’etre. Un vague halo de fumé violette se dégagea de la terre et entoura Eriendre et Eclésion puis disparu.
Ryfryus se rapprocha.
- C’est le serment des destins croisés. Même la mort ne pourra rien faire pour l’arrêter. S’exclama Ryfryus
Eriendre déglutit puis resta bouche bée.
- Heu…je…
- Il vaut mieux que tu ne dises rien. Dit le guerrier.
- Tu te rends conte Eriendre !! Tu te rends…
- RYFRYUS !! Tu commences à m’énerver. Déclara froidement Séria. J’en ai assez de tes Hoo ! Haa !
- Va te faire greffer des ailes de griffon !
Ryfryus regarda les deux personnes unies par le destin avec admiration.
Eclésion se releva et sortit son épée de la terre. Il la rangea dans son fourreau.
- Je crois que…je vais rentrer chez moi.
Et Eriendre partit laissant seul Séria, Ryfryus et Eclésion.
- Si seulement il connaissait son importance et son potentiel.
- Mais pourquoi est il si important ? Demanda Ryfryus.
- Parce qu’il est unique. Tout du moins, pour le moment il l’est.
Séria et Ryfryus tournèrent la tête vers Eclésion. Malgré le serment, Séria n’avait toujours pas confiance. Ryfryus non plus n’était pas convaincu.

Eriendre se trouvait dans la ruelle sombre et vide. Etrangement, la ville était calme. Elle l’était un peu trop d’ailleurs. Eriendre continua son chemin et se retrouva face à la rue la plus grande sauf qu’elle était vide. Pas un chat. Le vent souffla en déplaçant la poussière qui se trouvait sur les pavée.
- Moi je trouve ça trop calme.
Eriendre eut un haut le cœur et se retourna. Hoctallia se trouvait perchée sur une vieille pancarte dont on ne voyait plus l’inscription.
- Mais vous etes fou ! Vous voulez me tuer. J’ai eu une de ces peurs.
- Je suppose que vous avez rencontrée mon ami Eclésion.
- Alors il disait vrai.
- Tu ne le crois pas. Il a fait le serment pourtant.
Eriendre répéta les paroles d’Hoctallia dans sa tête. Il fronça les sourcils.
- Attendez deux secondes ! Vous n’étiez pas la !
- Tu apprendras Eriendre que nous les phénix, nous sentons les actes magiques qui se déroulent près de nous.
- Et c’est à cause de vous que c’est calme comme un cimetière ?
- Non. Et d’ailleurs, ça ne me rassure pas. Où sont tes compagnons ?
- Nous sommes la.
Séria, Ryfryus et Eclésion venait d’arriver. Eclésion s’agenouilla a terre. Il frotta le sol avec ses mains.
- Des loups de la mort. Déclara Eclésion
- Des quoi ? Interrogea Séria.
- Ce sont des loups noirs qui ont des symboles marqués au fer sur leur peau. Il sont très agiles, féroces et adorent la chair humaine. Ils peuvent parler. Répondit Ryfryus.
- Mais comment sais-tu tout ça ? Demanda Eclésion.
- Je lis beaucoup. Mais a présent le temps n’est plus à la lecture mais au maniement du glaive et de l’arc !
Ryfryus fit semblant de sortir une épée d’un fourreau et de s’en servir. Il avait l’air très ridicule.
- Non Ryfryus. Ils sont trop nombreux pour que l’on puisse les battre. Coupa Hoctallia.
- Ils ont tués tout le monde ? Demanda Séria inquiète.
- Non je ne crois pas. Mais cela n’a pas d’importance. Partons tout de suite. Dit Eclésion.
- Non ! Nous avons une famille et nous voulons vérifier si ils sont encore vivants ! Objecta Eriendre.
Les cinq compagnons ne le voyaient pas mais un loup de la mort se trouvait sur un toit juste au dessus d’eux. Si il jouait bien son coup, il pouvait tuer au moins deux personnes. Il recula un peu pour prendre de l’élan et il sauta sur eux.
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